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"Depuis des années, les BAWAJAFAR N' FREE peaufinent un reggae qui exsude un très fort parfum d'authenticité : en effet, les six musiciens (dont deux chanteurs) sont à la recherche du son jamaïcain des années 70 qui les a fortement influencés. La preuve, ils ont fait appel pour mixer leur album à un maître en la matière, Mad Professor. Qu’il soit francophone (" Jamais sans Reggae ") ou anglophone (" Mama Earth "), le résultat coule de source avec facilité et aisance, méritant une mention particulière pour les vocaux soyeux et le très nostalgique orgue farfisa (...)"  ROCK&FOLK

"BAWAJAFAR N' FREE est un cas atypique de la scène reggae française. En effet ces musiciens se sont lancés dans l'aventure en ayant pris soin au préalable de maîtriser la pulsation roots avant d'enregistrer leur album (...)" - RAGGA - Interview 4 pages

"Des quatres groupes en compétition (…) ce sont les lyonnais de BAWAJAFAR qui remportent à l'unanimité le tremplin et donc l'opportunité de jouer en live devant 15000 personnes à Bercy le 29 juin 2002. Les six musiciens ont su conquérir le public avec un reggae énergique et un bon groove chanté en français, en anglais ou en espagnol. Un style différent aux sonorités jamaïcaine. (...)"  REGGAE MASSIVE

" (...) Reggae à la mode awa (...) BAWAJAFAR N' FREE, Bawa pour les fans, gravit les sentiers de la gloire. Ce groupe lyonnais, qui joue comme personne un reggae inspiré par les racines de la musique jamaïcaine a sorti (...)un nouveau CD quinze titres : " Terre en Pente ". Il est mixé par Mad Professor, maître incontesté du reggae qui a eu un vrai coup de cœur. Avant l’Elysée Montmartre, à Paris, Bawa sera à la Cigale de Nyons (Drôme), le 20 avril. "  MARIE CLAIRE

" (…) Avec ses paroles engagées mais positives, le groupe a bâti sa réputation sur scène(…) c’est certain les lyonnais de la Croix Rousse savent chauffer une ambiance (…) " – Midi Loisirs

"(...) L'album, mixé avec excellence, ne sonne pourtant pas Ariwa. C’est un son à l’ancienne .Les morceaux les plus roots comme " 1789-1871 " ou " Negus " peuvent rappeler Cimarons ou Ras Michael. Les autres s’apparentent à du reggae qui tourne bien et assez complet en arrangements. Bon claviers, bons cuivres, cocottes, harmonies vocales, deux voix principales et quinze titres font de ce premier opus une réussite indéniable(...) " - REGGAE MASSIVE  (3* sur 4) + CD Sampler - I Tal Vital

" (...) Bawajafar n' Free, enthousiasmant sextet lyonnais s'exprimant fort bien dans la langue musicale d'un reggae roots d'excellente tenue, orchestrée à l'ancienne et mixée à Londres par Mad Professor. Résolument en dehors de toute hype reggae-ragga cool, rigolo ou militant, Bawajafar n' Free est un authentique miracle cosmic roots, positif et convivial, né entre la terre en pente (la colline du quartier de la Croix Rousse) et celle des îles caribéennes, allant, par sa maturité instrumentale et la chaleur de ses harmonies vocales, chercher ses meilleures comparaisons du côté de Bob Marley. Pas Moins " - Station Service Strasbourg

"BAWAJAFAR N' FREE ou la relève du reggae français(...) puis de mixer le tout au studio Ariwa de Londres pour faire de ce premier album un étonnant foisonnement de mélodies accrocheuses au service d'un reggae tendance roots pas si fréquent chez nous (...) Leur message va bientôt déferler sur la France et rien ne pourra l'arrêter: c'est la vibration reggae(...)" - Le Havre Libre

" Issu de la scène lyonnaise, Bawajafar n’ Free, après avoir écumé les salles de l’Hexagone, s’est arrêté le temps d’enregistrer les quinze titres de Terre en Pente. Une sensibilité certaine et un son très "roots", qui n'est pas sans rappeler les enregistrements jamaïcains des années 70. On retrouve la patte de Mad Professor (U-Roy, Lee Perry, etc.) un choix qui révèle la fibre jamaïcaine qui habite le combo de la Croix-Rousse. Même s’ils n’ont pas choisi un nom des plus faciles à retenir, les Bawajafar n’ Free ou bawa devraient séduire les fans de reggae et ils sont nombreux ! Et ce TERRE EN PENTE (...) est détenteur d'une véritable énergie. Ils ont opté pour Nocturne, ce qui leur permet de se retrouver en bonne compagnie (Burning Spear, U-Roy, etc.), dans un label composé de gens qui savent ce qu’est le reggae" - Compact

" (...) La vibration générale est puissamment roots. Les " Bawa ", comme on les surnomme déjà, se démarquent du reste des autres groupes de reggae hexagonaux, en imposant un nouveau style proche du reggae des années 70’s mais revisité avec énergie. Preuve qu’ils sont une valeur montante de la frenchie reggae party, les Bawa, viennent de participer au Garance Reggae Festival à Bercy avec Burning Spear et Tiken Jah Fakoly (…) " – OUEST FRANCE

"(…)C’est un public extrêmement dense et très chaud qui a accueilli avec enthousiasme Bawajafar n’ Free. Dans l’animation des faisceaux lumineux, le groupe métropolitain a pris possession de la scène avec beaucoup de vigueur, s’assurant l’adhésion du public. Les deux leaders, Seb et Bob, ont démontrés des capacités scéniques et un talent de professionnel(…)" – Les Nouvelles Calédoniennes

" Dans la tradition reggae-roots d’en France, voici venir BAWAJAFAR N’ FREE, une formation lyonnaise qui déballe une musique fichtrement remuante et ensoleillée. Bien évidemment, les textes (en français, anglais et espagnol) ont ici une dimension importante, gavés de messages qu’ils sont. Saluons l'extrême maestria des zicos et la qualité de la production… il faut dire que cet album a été mixé chez Ariwa à Londres par Mad Professor lui-même." - IntraMuros Hebdo

" (...) pour donner naissance à l'un des porte-parole français les plus excitants de l'héritage jamaïcain (...) Un reggae tendance "racines", généreux et savoureusement influencé, deux chanteurs charismatiques et communicatifs, des instrumentistes hors pairs capables d'interludes instrumentaux débridés  (…) " – LYON CAPITALE

" Quand un groupe de reggae rencontre une formation de jazz-rock, qu'est-ce qu'ils font ? Des bananes flambées au rhum ou plutôt un reggae up-tempo, vigoureux comme le tronc d'un palmier centenaire profondément enraciné dans le terreau jamaïcain, une musique à la fois roots et métissée, coloriée de folles improvisations. Avec Bawajafar N'Free, l'hexagone s'enrichit d'un nouveau gang rasta assez différent de tout ce que l'on a pu entendre jusqu'à présent, preuve supplémentaire que les continents dérivent et que la Jamaïque est de moins en moins loin de nos côtes... Bonne nouvelle ! " - Peoplesound

" (…) leur expérience leur permet de faire tourner un roots rock reggae comme celui des artistes pour lesquels ils ouvrent (…) "  RAGGA

" (…) Et que les anciens vainqueurs des Sélections Garance, festival parisien incontournable, sont très demandés en France, tant en première partie de grosses pointures (…) que pour occuper la tête d’affiche (…) " – Midi Libre

" Attention, première sortie nationale des " BAWA ", groupe lyonnais en vue, et réalisation classieuse : quinze titres – ce qui est déjà conséquent – mixés par le docteur ès sciences échos Mad Professor, au studio Ariwa, à Londres. Cette entrée en matière, c’ est presque un plat de résistance, pas vrai ? D’ ailleurs, les six musiciens de BAWAJAFAR – épaulés par de souffleurs avec bonheur – donnent dans le consistant. Côté son, d’ abord. Mad. Le premier titre L’ humanité se laisse aller - ce qui explique aussi le côté pentu de cette terre – donne le ton : on se croirait chez Rico à la grande époque ! " Aïe, aïe, aïe, ça fait mal … ", nous chante Seb, et pour cause : côté conscience, ça travaille. Eux sont sur la bonne, de pente. Et en tant que Français, d’ habitude peu enclins à décliner le nom de jah, ils se montrent très pénétrés par le divin tétragramme rastafari. On se surprend à imaginer que Studio One, en fait, c’ était en banlieue lyonnaise, et que Perry a anglicisé son nom pour faire mieux. Nan ! C’ est le vrai voyage de la musique, de la vibe qu’ on nous propose ici : en langue d’ ici, de là – bas et d’ ailleurs aussi. Mama Earth, on connaît, surtout en anglais : et " Mother Earth " des Cimarons, alors ? C’ est pas grave, Gloire à Jah quand – même : " Trop de gens qui ne posent pas les bonnes questions ", alors amour du reggae, right ? Et Au bout du chemin ? Rien à faire. On repasse la première plage en boucle. Huge hit for the french charts " - Presto

"(...) leur premier album (...) sort demain dans les bacs et devrait intéresser ceux qui aiment les belles voix, les vibrations 70's revisitées et l'atmosphère chaleureuse(...) " - La voix du nord

" (…) Grâce à une rythmique irréprochable, à un orgue hammond qui est l’apanage des grands groupes de reggae, les " Bawa " sont désormais très courtisés et il ne faut pas rater l’occasion d’aller les applaudir (…) " - Journal du Roannais

" (...) le groupe lyonnais qui n’a pas ménagé sa peine et qui a fait plusieurs retours sur scène, à la demande d’un public qui a eu droit à deux heures de pur reggae. (…) Les six compères sont en effet passé maîtres dans l'art de distiller des rythmes reggae particulièrement construits. Et s’ils parviennent à conserver la base de ce qui a fait du reggae une musique mythique dans les années soixante dix, ils n’hésitent pas à l’adapter de façon plus moderne (...) le public ne s'y est pas trompé et il n'y a avait qu'à voir les spectateurs danser, sauter, applaudir et en demander encore et encore pour comprendre que les " Bawa " avaient véritablement conquis la scène riorgeoise(...) " - La Tribune - Journal du Roannais

" (...) Leur rythmique solide et irréprochable, agrémentée par un orgue hammond qui fit autrefois la légende des meilleurs groupes de souls et des plus anciens et non moins célèbres groupes de ska et de reggae, associée à des paroles en français et en anglais, font de chacune de leurs sorties une réussite (...) " - Le Progrès

" (...) Leur premier album devrait sortir en février prochain sous le label Nocturne. Le groupe l’a déjà enregistré et s’envole pour Londres la semaine prochaine afin de le mixer avec Mad Professor. Pointure reconnue dans le milieu reggae, il a travaillé avec des formations de premier plan telles que Massive Attack. Intitulé " Terre en pente ", ce premier disque comportera quinze titres. C’est un suite logique pour les six musiciens qui avait autoproduit leur propre maxi 4 titres intitulé " Comme des Lions " en juillet 2000. En tournée toute l’année depuis environ un an, les Bawajafar n’ Free ont de nombreuses scène à leur actif (...) " - Le Progrès

" (...) Ce premier disque prometteur dévoile un reggae innovateur et personnel mélangeant les influences et les métissages, il nous montre que la musique d’origine jamaïcaine nous réserve toujours des surprises(...) Cette formation lyonnaise ne fait pas beaucoup du son "bande FM" contrairement à beaucoup de groupes ayant oublié les priorités de cette musique de ciel et de l'espoir que Bawajafar nous aide à atteindre, grâce à ses sonorités inspirées et pacificatrices (...)" - 491

" (...) Ce groupe détonnant provient tout droit de la riche scène lyonnaise et devrait faire beaucoup parler de lui. Les Bawa imposent un nouveau style (...)" Le Poher Loisirs

"(...) Sur le cours, le groupe Bawajafar n’ Free a fait partager son enthousiasme au très nombreux public (...) " – Nice Matin

" Les Bawajafar n’ Free, groupe de reggae de Lyon, sortent leur 1er album intitulé " Terre en Pente " chez Nocturne, le 15 mars. Les six musiciens ont concoté quinze titres à messages portés par un reggae chaleureux, chantés en français, parfois en anglais ou en espagnol et mixés par Mad Professor au studio Ariwa de Londres. Leur style est proche du son jamaïcain, tout droit sorti des 70’s, mais revisité avec originalité (...)" - La semaine dans le boulonnais

20 Minutes

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